Luc Martineau est un artiste visuel autodidacte ayant eu une belle carrière dans le monde juridique . Peindre est son activité professionnelle principale depuis 2022. Il a son atelier au Complexe du Canal Lachine , dans le quartier Saint-Henri, à Montréal. Sa première exposition solo « Jugement Final Judgment »  (Ottawa, galerie Alpha Omega) a remporté un vif succès , alors qu’il a également participé à de nombreuses expositions collectives au Québec.

O Luc Martineau :
« Je n’ai aucune formation universitaire en arts visuels. C’est un fait . Pourtant les arts font partie de mon ADN. Si j’ai fait carrière comme avocat avant d’accéder à la magistrature , il n’empêche, je n’ai jamais cessé d’être ce que je suis au fond de moi, un artiste et un poète . J’ écris et je dessine depuis mon enfance . Jeune adulte, j’ai touché à l’aquarelle et au pastel, puis je me suis mis à la peinture à l’huile. Depuis 2005, l’acrylique est mon médium de prédilection. »

« La conscience est l’essence de l’être ; je veux cocréer tous les possibles .Sans le beau, tout comme l’amour, la vie n’a aucun sens. Car tout est illusion, tout est signe, tout est art, tout est Dieu. Mon imaginaire ne connait aucune limite . Plus qu’un processus mental , mon âme se lie à l’innommable lorsque je suis devant la toile vierge ou la page blanche. Peindre devient un conduit magique qui me transforme en Merlin l’enchanteur . C’ est merveilleux et libérateur  à la fois! »

O Josette Trépanier, peintre, sculpteure et professeure :
« Luc Martineau est un artiste autodidacte. Bien qu’il ait fait carrière dans le milieu juridique, il a toujours dessiné, peint des aquarelles et produit de nombreuses caricatures. Cependant, ce n’est qu’au début des années 2000 que sa carrière de peintre a réellement démarré. Dans son atelier de Saint-Henri, il produit des œuvres sur toile ou sur papier qui étonnent par leur éclectisme. C’est que loin de se confiner à un style ou à un genre, ce qu’il recherche avant tout dans la peinture, c’est l’intensité émotionnelle, et à cette fin, il utilise toutes les ressources techniques dont il dispose, soit les empâtements, le dripping, le collage, la répétition, la citation. Il s’adonne aussi à des exercices d’écriture ou de dessin qui favorisent la mise à jour de son inconscient. À cet effet, on comprend qu’il a intégré les valeurs propres aux expressionnistes abstraits américains, et même, plus près de nous, aux artistes du Refus Global, qui privilégiaient la spontanéité, l’authenticité, le geste et l’influence du subconscient. »

«Dans son atelier, Luc Martineau explore librement des « manières de faire des mondes », pour reprendre la formule de Goodman. Certaines des œuvres, plus figuratives, font écho aux mouvements de la Nouvelle figuration libre, de la Bad Painting et des Nouveaux expressionnistes allemands qui ont marqué la peinture durant les années 80. Dans d’autres œuvres, plus récentes, on peut maintenant voir l’amorce d’un commentaire social. C’est pourquoi, il est difficile de savoir dans quelle direction la pratique artistique de Luc Martineau va évoluer. Le mélange des styles, l’hybridation des formes, les références au passé et l’affirmation de la subjectivité qui caractérisent sa production, entrainent une individualisation de sa pratique artistique où l’on ne décèle aucun souci d’appartenir à un courant artistique quelconque. Luc Martineau est un électron libre. »

Mais comment traduire leur réalité sur une toile blanche?

« Je peins imparfaitement ce qui est parfait. Chaque ligne, chaque trait, chaque couleur, c’est une émotion; un ressenti remontant à la surface. Après l’exaltation vient l’épuisement. Je m’arrête simplement

« Une peinture n’est jamais terminée – elle s’arrête simplement dans des endroits intéressants »

Luc Martineau est un artiste visuel autodidacte ayant eu une belle carrière dans le monde juridique . Peindre est son activité professionnelle principale depuis 2022. Il a son atelier au Complexe du Canal Lachine , dans le quartier Saint-Henri, à Montréal. Sa première exposition solo « Jugement Final Judgment »  (Ottawa, galerie Alpha Omega) a remporté un vif succès , alors qu’il a également participé à de nombreuses expositions collectives au Québec.

O Luc Martineau :
« Je n’ai aucune formation universitaire en arts visuels. C’est un fait . Pourtant les arts font partie de mon ADN. Si j’ai fait carrière comme avocat avant d’accéder à la magistrature , il n’empêche, je n’ai jamais cessé d’être ce que je suis au fond de moi, un artiste et un poète . J’ écris et je dessine depuis mon enfance . Jeune adulte, j’ai touché à l’aquarelle et au pastel, puis je me suis mis à la peinture à l’huile. Depuis 2005, l’acrylique est mon médium de prédilection. »

« La conscience est l’essence de l’être ; je veux cocréer tous les possibles .Sans le beau, tout comme l’amour, la vie n’a aucun sens. Car tout est illusion, tout est signe, tout est art, tout est Dieu. Mon imaginaire ne connait aucune limite . Plus qu’un processus mental , mon âme se lie à l’innommable lorsque je suis devant la toile vierge ou la page blanche. Peindre devient un conduit magique qui me transforme en Merlin l’enchanteur . C’ est merveilleux et libérateur  à la fois! »

O Josette Trépanier, peintre, sculpteure et professeure :
« Luc Martineau est un artiste autodidacte. Bien qu’il ait fait carrière dans le milieu juridique, il a toujours dessiné, peint des aquarelles et produit de nombreuses caricatures. Cependant, ce n’est qu’au début des années 2000 que sa carrière de peintre a réellement démarré. Dans son atelier de Saint-Henri, il produit des œuvres sur toile ou sur papier qui étonnent par leur éclectisme. C’est que loin de se confiner à un style ou à un genre, ce qu’il recherche avant tout dans la peinture, c’est l’intensité émotionnelle, et à cette fin, il utilise toutes les ressources techniques dont il dispose, soit les empâtements, le dripping, le collage, la répétition, la citation. Il s’adonne aussi à des exercices d’écriture ou de dessin qui favorisent la mise à jour de son inconscient. À cet effet, on comprend qu’il a intégré les valeurs propres aux expressionnistes abstraits américains, et même, plus près de nous, aux artistes du Refus Global, qui privilégiaient la spontanéité, l’authenticité, le geste et l’influence du subconscient. »

«Dans son atelier, Luc Martineau explore librement des « manières de faire des mondes », pour reprendre la formule de Goodman. Certaines des œuvres, plus figuratives, font écho aux mouvements de la Nouvelle figuration libre, de la Bad Painting et des Nouveaux expressionnistes allemands qui ont marqué la peinture durant les années 80. Dans d’autres œuvres, plus récentes, on peut maintenant voir l’amorce d’un commentaire social. C’est pourquoi, il est difficile de savoir dans quelle direction la pratique artistique de Luc Martineau va évoluer. Le mélange des styles, l’hybridation des formes, les références au passé et l’affirmation de la subjectivité qui caractérisent sa production, entrainent une individualisation de sa pratique artistique où l’on ne décèle aucun souci d’appartenir à un courant artistique quelconque. Luc Martineau est un électron libre. »

Mais comment traduire leur réalité sur une toile blanche?

« Je peins imparfaitement ce qui est parfait. Chaque ligne, chaque trait, chaque couleur, c’est une émotion; un ressenti remontant à la surface. Après l’exaltation vient l’épuisement. Je m’arrête simplement

« Une peinture n’est jamais terminée – elle s’arrête simplement dans des endroits intéressants »